Benutzer:Jenesuri/Charles Rist (in Arbeit)
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Charles Rist (* 1. Januar 1874 in Prilly bei Lausanne; † 10. Januar 1955 in Versailles) war ein französischer Wirtschaftswissenschaftler und Vize-Gouverneur der französischen Zentralbank Banque de France. Er war neben François Simiand, Albert Aftalion, Gaëtan Pirou et Bertrand Nogaro einer der wichtigsten französischen Wirtschaftswissenschaftler seiner Zeit. Er war Professor und ein Experte für Währungsfragen. Er beriet Regierungen in Osteuropa, insbesondere in Rumänien. Er war auch der erste, der 1934-1935 ein Zentrum für Wirtschaftsforschung (IRES) gründete, zu dessen Mitgliedern Robert Marjolin gehörte. Nach dem Zweiten Weltkrieg war er einer der letzten Befürworter des Goldstandards.
Biographie
Les débuts
Charles Rist war verheiratet mit der Tochter von Gabriel Monod, Germaine Monod, Enkelin von Alexander Iwanowitsch Herzen. Er ist der Vater von Jean Rist, Léonard Rist, Claude Rist (1902-1950), Noël Rist und Mario Rist (1915-1979).
An der Universität interessierte er sich für soziale Fragen und die Arbeiterschaft. 1898 promovierte er zum Doktor der Rechtswissenschaften und verfasste eine Dissertation über das erste englische Gesetz zur Unfallhaftung und eine weitere mit dem Titel La journée de travail de l'ouvrier français (Der Arbeitstag des französischen Arbeiters). Von 1899 bis 1913 war er Professor für Volkswirtschaftslehre an der Universität Montpellier. Ab 1903 oder 1904 arbeitete er mit Charles Gide, der wie er Protestant war, an einer Geschichte der Wirtschaftslehre, deren erste Auflage 1909 erschien. Diese Arbeit nahm während der zwölf Jahre, die er in Montpellier verbrachte, den Großteil seiner Zeit in Anspruch Vorlage:Sfn.
Erster Weltkrieg
Durant la guerre, il fait partie de l'équipe Lichtenberger qui regroupe des spécialistes des questions allemandes. Il s'agit pour eux d'informer correctement et objectivement le gouvernement et les administrations de la situation en Allemagne. Dans cette équipe, Rist s'occupe plus spécialement des questions relatives aux finances de guerre et au cours du changeVorlage:Sfn. Il est frappé par la propagande faite tant en France qu'en Allemagne visant favoriser l'emploi du chèque au lieu des billets afin de soulager les finances publiques alors que Maurice Ansiaux a montré dès 1912 l'identité économique de ces deux moyens de paiements, une idée non encore diffusé à l'époque dans le grand public. Il pousse deux de ses anciens étudiants prisonniers en Allemagne de traduire le livre Qu'est-ce que la monnaie ? de Hartley Withers, l'auteur qui a popularisé la formule : (Please provide the title of the work), les crédits créent des dépôtsVorlage:Sfn.
Dans la notice biographique qu'il a préparé pour aider son successeur à l'Institut à rédiger son discours d'hommage, il déclare avoir été (Please provide the title of the work), indigné par les déclarations d'hommes comme Vorlage:MM. et Klotz, qui s'efforçaient de faire croire au public français et au parlement qu'il était facile d'obtenir des sommes astronomiques en mark-orVorlage:Sfn. Sur ce point le gouverneur de la Banque d'Angleterre Vorlage:M. n'était pas en reste. Pour lui c'est dans ce contexte qu'il faut comprendre le livre de John Maynard Keynes Les Conséquences économiques de la paix qui a paru alors (Please provide the title of the work), comme une véritable délivrance à ceux qui pouvaient pénétrer la réalitéVorlage:Sfn. Il éprouve alors une vraie difficulté à faire passer dans la presse en vain et doit se contenter de publier dans la Revue d'économie politique une rubrique sur les RéparationsVorlage:Sfn.
Entre-deux guerres
Dans les années 1924, 1925, Charles Rist réclame dans des articles publiés par la Revue d'économie politique une stabilisation du franc. Cela lui vaut d'être nommé en 1926 par Raoul Péret alors ministre des finances du cabinet Aristide Briand, membre d'un Comité des experts où avec Gaston Jèze, ils sont les seuls à n'être ni banquiers, ni industriels. Le 23 juin 1926, Joseph Caillaux devenu ministre des finances accepte le rapport des experts et remanie la direction de la Banque de France. Il y nomme Émile Moreau gouverneur et Rist premier sous-gouverneur. Le gouvernement Briand ayant été vite renversé, le rapport des experts sera mis en œuvre par Raymond Poincaré et amènera en 1928 au franc PoincaréVorlage:Sfn.
En 1928, il est élu membre de l'Académie des sciences morales et politiques. Lors de la tournée de visite à ceux qui devaient l'élire, il se rend compte de leur hostilité, particulièrement ceux qui étaient des universitaires à la (Please provide the title of the work), stabilisation, qu'ils considéraient comme un abandon scandaleuxVorlage:Sfn. Durant cette période il représente aussi la Commission des réparations au Tribunal arbitral de La Haye créé par le plan Dawes pour trancher les différends entre la commission et le gouvernement allemand. Les Roumains ayant demandé de l'aide à la Banque de France, il participe aussi à une mission en Roumanie destinée à la stabilisation de la monnaie roumaine. Fin 1928, il démissionne de la Banque de France. Une fois remplacé par Clément Moret, il reprend l'enseignement.
En 1931, il prend part à la mission Laval à Washington. Si le secrétaire d'État américain s'intéresse au maintien de l'étalon-or ce n'est pas le cas de Laval qui dit à Rist (Please provide the title of the work), vous savez, l'étalon d'or, je m'en fous. Vous mettrez ce que vous voudrez dans le communiquéVorlage:Sfn. Il représente la France à la Conférence de Lausanne en 1932. En avril 1933, il accompagne Édouard Herriot aux États-Unis où il rencontre Franklin Delano RooseveltVorlage:Sfn. En juin 1933 il est le délégué de la France à la Vorlage:Lien. Là, il défend (Please provide the title of the work), énergiquement le maintien de l'étalon-or malgré l'abandon complet de cet étalon par le président RooseveltVorlage:Sfn. Il prend une part active à la décision de la France, de la Hollande et de la Suisse à maintenir cet étalon. Les discussions avec les représentants des pays de langue anglaise sont à l'origine de son livre Histoire des Doctrines monétairesVorlage:Sfn.
En 1934, avec l’appui de la fondation Rockefeller, il fonde l'Institut de recherches économiques et sociales (IRES). Lionel Robbins y donne en 1934 une conférence sur la méthode dans les recherches économiques. Robert Marjolin, qui a travaillé avec lui, note que, bien qu’il fût censé incarner le capitalisme national et international, « son instinct le portait le plus fréquemment à gauche »[1].
En 1936, il devient à la demande de Pierre Laval d'abord, puis de Paul Bastid et enfin de Georges Bonnet, président de la Commission de Révision douanière où il se heurte à une forte résistance des industriels et du ministère de l'agriculture. La guerre met fin aux travaux de la commission et renforce le protectionnismeVorlage:Sfn.
Il prend la présidence du Comité de Paris de la Banque ottomane en 1937 qu'il conservera jusqu'en 1954. Il est également vice-président de la Banque des Pays de l'Europe centrale, administrateur du Canal de Suez et de la Banque de Paris et des Pays-Bas, et membre du comité de surveillance du Credit Anstalt.
Seconde Guerre mondiale et immédiat après-guerre
Au début de la guerre, il constitue à la demande du ministre du blocus un comité consultatif chargé de réfléchir au blocus. Il s'aperçoit vite que le blocus devrait porter sur un petit nombre de produits, parmi lesquels des métaux non ferreux comme le molybdèneVorlage:Sfn. Dans sa notice biographique, il note que les dirigeants se faisaient beaucoup d'illusions quant à l'efficacité du blocus.
Im Rahmen der englisch-französischen Blockadeorganisation wurde er in die USA geschickt, wo er von Außenminister Cordell Hull und Präsident Franklin Delano RooseveltVorlage:Sfn empfangen wurde.
Il revient en France pour assister à la défaite. Durant la guerre, il écrit son livre Précis des Mécanismes monétaires qui sera interprété à sa parution après-guerre (Please provide the title of the work), comme une confession à retardement d'un libéralisme désuetVorlage:Sfn. Il publie également une nouvelle édition de l'Histoire des doctrines où il critique la conception keynésienne de l'épargneVorlage:Sfn.
Dans l'après-guerre il est critique envers le Fonds monétaire international, qu'il estime viser non pas (Please provide the title of the work), le rétablissement international des monnaies mais l'instauration d' (Please provide the title of the work), une sorte de condominium monétaire anglo-américainVorlage:Sfn. Il combat également la politique économique de Jean Monnet qu'il accuse d'imposer de trop grandes restrictions de consommation et de trop lourdes charges budgétaires (Please provide the title of the work), sous prétexte d'investissement. Il estime que la politique menée conduit à un budget en constant déséquilibre et à une (Please provide the title of the work), chute méthodique du FrancVorlage:Sfn.
À sa mort en 1955, la Revue d'économie politique lui consacre un numéro spécial. Il est alors considéré selon ses propres mots comme (Please provide the title of the work), un représentant de ce qu'on appelle l'orthodoxie en économie politiqueVorlage:Sfn.
Le praticien
Rist le professeur
Selon Jean-Marcel Jeanneney dont il a été le professeur en doctorat, (Please provide the title of the work), Sa vocation était d'enseigner, non par goût d'imposer sa propre pensée — nul n'était plus libéral que ce grand esprit, nourri des classiques et des philosophes du Vorlage:S- — mais parce qu'il croyait à la puissance des idéesVorlage:Sfn. Son premier cours de faculté donné en 1899-1900 portait sur La distribution des Richesses. Après la Première Guerre mondiale qui provoqua force dérèglements monétaires, ses cours portent principalement sur la monnaie et les relations économiques internationales. Les thèmes de ses cours furent alors : 1919-1920 grandes banques d'émission et de dépôt, 1921-1922 révolution monétaire mondiale et distribution des richesses ; 1922-1923 vie économique internationale ; 1923-1924 commerce international et balances des comptes ; 1924-1925 réformes monétaires depuis la fin de la guerre ; 1925-1926 relations commerciales internationalesVorlage:Sfn. En 1933, il quitte la faculté de droit de Paris pour se consacrer à son institut de recherche l'ISRES (Institut scientifique de recherche économique et sociale) mais continue de donner quelques heures de cours à l'École libre des sciences politiques (Sciences Po Paris)Vorlage:Sfn.
Rist l'expert
Rist le théoricien et l'historien des doctrines économiques
Méthodologie
Charles Rist se veut un réaliste. Il se moque des économistes qui font des (Please provide the title of the work), excursions dans la stratosphère.
Le théoricien des finances publiques
Selon Henry Laufenburger, Rist a approché les questions budgétaires en partant de la théorie monétaireVorlage:Sfn. En effet, la Première Guerre mondiale a eu pour effet, en provoquant de forts déficits, de mettre la monnaie au service de l'État, ce qui a provoqué sinon une élimination du moins une forte diminution de la troisième fonction d'une monnaie celle de réserve de valeur. Rist a abordé (Please provide the title of the work), les incidences budgétaires de la monnaie fiduciaire sous deux régimes : celui de l'expansion et celui de la contractionVorlage:Sfn.
Il aborde le thème des effets de la contraction dans le livre que Laufenburger considère être un des meilleurs de Rist : La déflation en pratique (1924). Il considère que dans ce cas l'important n'est pas la (Please provide the title of the work), réduction des instruments de circulation monétaires, mais la réduction du déficit public. Mais traitant de la façon dont l'Angleterre a géré sa déflation, il estime que cette politique, visant surtout à restaurer le prestige de la livre, a eu des inconvénients gravesVorlage:Sfn.
En ce qui concerne l'expansion, pendant l'expérience du Front populaire, il montre (Please provide the title of the work), peu d'enthousiasme pour le concept du déficit systématiqueVorlage:Sfn mais il accepte de différencier les dépenses publiques de fonctionnement et celle d'investissement. À la Libération de la France il se résigne au financement public de l'investissement à condition qu'il soit fait recours à l'épargne. Entre les deux types d'épargne possible, l'épargne forcée (les impôts) et l'épargne volontaire, il préfère nettement la seconde et il est un des fervents partisans du retour à la flexibilité du taux d'intérêt qu'il juge la plus susceptible de la favoriserVorlage:Sfn.
Charles Rist, économiste financier, et Gaston Jèze, juriste financier, deux figures marquantes de la Faculté de droit de Paris de cette époque avaient l'un pour l'autre une grande estime, non seulement parce que leur analyses sur les problèmes monétaires, financiers et budgétaires se recoupaient, mais en raison de leur commune qualité d'indépendance et de courageVorlage:Sfn.
Rist, la monnaie et l'étalon-or
Rist s'intéresse réellement à la monnaie après la Première Guerre mondiale. Son premier travail sur la question est publié en 1924 sous le titre La déflation en pratique, suivi en 1933 par un livre intitulé Essais sur quelques problèmes économiques et monétaires, puis Histoire des doctrines relatives au crédit et à la monnaie depuis John Law jusqu'à nos jours. Après guerre, alors qu'il est avec Jacques Rueff un des derniers tenant de l'étalon-or, il écrit son Précis des mécanismes économiques élémentaires et en 1953 sa Défense de l'or.
La monnaie
Dans ses écrits Rist ne cherche pas une essence de la monnaie, mais la définit par ses fonctions : instrument de mesure, instrument d'échange et réserve de valeurVorlage:Sfn. Selon lui, la monnaie-papier ne remplit que (Please provide the title of the work), très mal la fonction de réserve de valeur et il s'oppose aux nominalistes (Bertrand Nogaro, Albert Aftalion) qui mettent surtout l'accent sur les deux premières fonctions de la monnaie, il s'oppose aussi à l'analyse de Friedrich von Wieser pour qui la valeur de la monnaie correspond à l'utilité du dernier bien qu'elle puisse acheterVorlage:Sfn. Puis la monnaie est un peu à la façon dont François Simiand la conçoit : une réalité sociale.
Rist accepte la théorie quantitative de la monnaie qui constate l'existence d'un lien entre quantité de monnaie et hausse des prix. Il voit dans le déficit budgétaire d'après la Première Guerre mondiale la cause de l'inflation et due l'instabilité des changesVorlage:Sfn. Il se méfie de l'emprise de l'État sur la monnaie par le biais de l'émission de bons du Trésor.
La primauté de l'or
Selon lui, si l'or n'est pas une monnaie parfaite, c'est la moins mauvaise. Tout d'abord parce que l'or bénéficie d'une forte aura en raison de sa beauté, de sa rareté et de sa durabilité, bref que selon les termes de François Simiand une réalité sociale que l'on peut considérer comme ayant au moins en partie une existence propre hors de l'action gouvernementale. Par ailleurs, en fixant l'émission monétaire sur l'or, on empêche le gouvernement d'utiliser la monnaie à ses fins propres. Louis Baudin note que (Please provide the title of the work), Rist insiste sur le fait que le métal gêne les combinaisons des dirigeants désireux de se servir de la monnaie comme d'un levier de commande de l'économieVorlage:Sfn.
Après la Seconde Guerre mondiale, il s'opposera au système de Bretton Woods. En effet, il soutient qu'il aurait mieux valu baser le système sur l'or plutôt que sur le dollar convertible en or. À cela deux raisons : le dollar ne peut être vu comme équivalent à l'or car d'une part il est à la merci de la politique des États-Unis, et d'autre part le prix de l'or sur le marché libre peut-être différent du cours officielVorlage:Sfn. De plus, pour lui, en maintenant un prix officiel de l'or bas, on décourage la croissance du stock d'or et par-là on contribue à accroître le différentiel entre prix de marché libre et cours officiel.
Pour Charles Rist, un système monétaire sain doit permettre (Please provide the title of the work), un équilibre entre les prix extérieurs, les prix intérieurs, la circulation monétaire, la balance des comptes, les charges fiscalesVorlage:Sfn. Selon lui on n'a pas pu établir en France un système monétaire sain pour trois raisons : le déséquilibre du budget, les problèmes de la balance des comptes, la mobilisation de l'épargneVorlage:Sfn.
La stabilité monétaire
Pour lui, l'important c'est d'abord la stabilité du change car l'instabilité décourage les épargnants qui deviennent averses au long terme et soumettent les producteurs à de fortes variations qui les déstabilisentVorlage:Sfn. En revanche, stabiliser les prix lui semble utopiste même s'il est contre l'inflation. Si les prix ont trop augmenté par rapport à l'or, il faut stabiliser c'est-à-dire constater la réalité des prix et fixer le cours de la monnaie par rapport à l'or au cours d'équilibre réel ce qui a été fait en France en partie sous ses conseils lors de la mise en place en 1928 du Franc PoincaréVorlage:Sfn.
Après une période d'inflation forte les pays ont souvent le choix entre la dévaluation et la déflation. Rist préfère dans ce cas la dévaluation car il estime que la déflation est très difficile du fait de la résistance des gens à la baisse de leur salaire ou de leurs bénéfices. Il écrit dans son Précis des mécanismes économique à la page 234 (Please provide the title of the work), la baisse des prix profite à ceux qui vivent de revenus fixes, mais crée des difficultés à tous les producteurs... or ce sont eux qui forment l'armature économique du paysVorlage:Sfn.
Évaluation de son influence
Alfred Sauvy juge que l'Institut de recherches économiques et sociales est arrivé trop tard et que, trop timoré, il n'a pas vraiment pesé sur les grandes décisions. En particulier, il reproche à Rist et à un autre économiste célèbre de l'époque, Gaëtan Pirou, de ne pas avoir assez poussé, comme Walter Lippmann le suggérait, le gouvernement à dévaluer en 1934-1935[2].
Pour Roger Dehem, Rist fournirait « la clé pour comprendre la position française en matière monétaire dans ce qu’elle a eu d’opposé à la vision type des Anglo-Américains durant les soixante dernières années »[3]. C’est aussi peut-être une des raisons à l’attitude que lui reprochait Sauvy.
Veröffentlichungen (Auswahl)
- Histoire des doctrines économiques(1909). Avec Charles Gide. online im Internet Archive. Nouvelle édition présentée par Annie L. Cot et Jérôme Lallement, Dalloz, 2000.
- Les finances de guerre de l'Allemagne(1921).
- La Déflation en pratique : Angleterre, États-Unis, France, Tchéco-Slovaquie(1924).
- The international consequence of the present distribution of gold holding(1931)
- Questions monétaires de l'heure présente : or, étalon-or (1932)
- Économie politique : Principales interprétations de la crise économique de 1930 (1932/1933).
- Essais sur quelques problèmes économiques et monétaires 1933
- L'évolution de l'économie française 1910-1937 1937
- Histoire des doctrines relatives au crédit et à la monnaie de John Law à nos jours (1938). Nouvelle édition présentée par Christian de Boissieu, Dalloz, 2002.
- 1939 Essai sur la conjoncture et la prévision économique (Avec Alfred Sauvy), 1939
- De la France d'avant-guerre à a France d'aujourd'hui (avec Gaëtan Pirou) 1939.
- Précis des mécanismes économiques élémentaires (1945)
- La Vie et la pensée de Gaëtan Pirou (1948)
- Défense de l'or (1953)
- Une saison gâtée : journal de la guerre et de l'occupation (1939-1945), édition établie par Jean-Noël Jeanneney, Fayard, 1983. (englisch: Season of Infamy: A Diary of War and Occupation, 1939-1945, Indiana University Press, 2016)
Notes et références
Voir aussi
Bibliographie
- IRES, Cinq conférences sur la Méthode dans les recherches économiques (Lionel Robbins (Angleterre), E.F.Wagemann (Allemagne), Léon Dupriez (Belgique), José Vandellos (Espagne), Veeijn Stuart (Pays-Bas), Librairie du recueil Sirey, 1938.
- Alfred Sauvy, Histoire économique de la France entre les deux guerres, vol 1, 1965. Economica, 1984.
- Robert Marjolin, Le Travail d’une vie, Robert Laffont, 1986.
- Roger Dehem, Rist, Charles, The New Palgrave, 1987.
- Lucien Blanc, Questions sur la nature de la monnaie : Charles Rist et Bertrand Nogaro, 1904-1951 (document de travail), 2000, online verfügbar
- Charles Rist, "Notice biographique", Revue d'économie politique vol 65, n°6, 1955
- Louis Baudin, "Les conceptions monétaires", Revue d'économie politique vol 65, n°6, 1955
- Jean-Marcel Jeanneney, "Le professeur", périodique=Revue d'économie politique vol 65, n°6, 1955
- Henry Laufenburger, "Le théoricien des finances publiques", Revue d'économie politique vol 65, n°6, 1955
Weblinks
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- ↑ Robert Marjolin, Vorlage:P..
- ↑ Alfred Sauvy, Vorlage:P..
- ↑ Roger Dehem, vol 4, Vorlage:P..