Benutzer:Kurator71/Maurice Brianchon
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Maurice Brianchon (* 11. Januar 1899 in Fresnay-sur-Sarthe; † 1. März 1979 in Paris war ein französischer Künstler.
Leben
1917schrieb sich Maurice Brianchon an der École nationale supérieure des beaux-arts de Paris bei Fernand Cormon, verließ die Akamdeie aber schon im folgenden Jahr wieder und studierte dann an der École nationale supérieure des arts décoratifs bei Eugène Édouard Morand. 1919 nahm er erstmals am Salon d'automne teil. Bei einer Reise in die Niederlande und nach Belgien lernte er die flämischen und holländischen Maler kennen. Begeistert von den Museumsbesuchen in Brüssel, Brügge und Amsterdam las er las „Die Alten Meister“ von Eugène Fromentin und verließ anschließend die dekorative Kunst.
1922 wurde er Mitglied des Komitees des Salon d'automne und mietete sich mit seinem Freund Raymond Legueult ein Atelier in der Avenue du Maine in Paris. Jacques Rouché, Direktor der Opéra de Paris bat ihn, die Kostüme für das Ballett Griselidis zu entwerfen, dass am 29. November 1922 Premiere hatte. 1924 erhielt er den Prix Blumenthal udn ein Stipendium, das es ihm ermöglichte, mit Legueult nach Spanien zu fahren, wo er im Museo del Prado die spanischen Meister um Diego Vélasquez, Goya und El Greco für sich entdeckte.
Mit Legueult entwarf er 1925 auch das Bühnenbild für La Naissance de la Lyre in der Pariser Oper. Im gleichen Jahr berief man ihn auch zum Professor für Design an der École Estienne in Paris. 1934 wurde ein besonderes Jahr für den Künstler: Er heiratete die Malerin Marguerite Louppe, die er an der Académie Julian kennengelernt hatte, und nahm mit sechs Leinwänden an der Biennale in Venedig teil.
1936 ernannte man ihn zum Professor an der École nationale supérieure des arts décoratifs.
1939 erhielt denGarden Club Prize des Carnegie Institute. Zu Beginn des Zweiten weltkrieges wurde er eingezogne und der Abteilung „Tarnung“ zugewiesen, die für die Bemalung von Bunkern und Kriegsgerät sorgte. Trotzdem arbeitete er auch als Künstler weiter. So schuf er die Kostüme für Valses nobles et sentimentales an der Oper in Paris. 1940 wurde der Mitglied des Komitees des Salon des Tuileries en 1940. Trotz der deutschen Besetzung blieb er in Paris und verbrachte nur die Ferien in Carnac oder Trouville.
Nach Kriegsende arbeitete Brianchon für die Oper und bezog ein lichtdurchflutetes Atelier unter dem Dach in der achten Etage in der Rue du Conseiller-Collignon. Hier fertigte er Kostüme und Bühnenbilder für Sylvia ou la Nymphe de Diane. Auf Bitten seines Freundes Jacques Adnet, dem Bühnenbildner der Compagnie des arts français, realisierte er 1942 mehrere Tapisserien für Aubusson und Gobelins für das Château de Vaux-le-Vicomte. Im selben Jahr schuf er für die Pariser Oper die Kostüme für Animaux modèles. Im folgenden Jahr schuf er mit seiner Frau drei Wandbilder für das Pariser Konservatorium.
1945 beauftragte Fred Ulher, Gründer und Präsident der Éditions Ides et Calendes in Neufchâtel den Künstler, Une Nonnain et Le Vaisseau de Thésée von Valery Larbaud zu illustrieren und die Einbände zu gestalten und im folgenden Jahr den Theaterstücke-Band von André Gide. Auf Wunsch von Jean-Louis Barrault und Madeleine Renaud fertigte er außerdem Bühnenbild und Kostüme für Les Fausses Confidences von Marivaux. Im Herbst 1948arbeitete er erneut mit Barrault und Renaud zusammen und entwarf Bühnenbild und Kostüme für La Seconde Surprise de l'amour von Marivaux.
1949 berief man ihn zum Professor an der École nationale supérieure des beaux-arts in Paris. Zu seinen Schülern zählten Guy Bardone, André Brasilier, Bernard Cathelin, René Genis, Paul Guiramand, Claude Guillemot. Le président de la République Vincent Auriol, qui est un admirateur de l'artiste, l'invite avec son épouse très régulièrement aux réceptions officielles ou privées qu'il donne au palais de l'Élysée, et Maurice Brianchon profite de l'occasion pour faire des croquis dont il exécutera plus tard des tableaux de ces cérémonies. Gisèle d'Assailly donne à son ouvrage le titre de Peintres de la réalité poétique en 1949 pour décrire les œuvres de huit peintres ayant exposés ensemble dans l'entre-deux-guerres et qui ont un certain nombre de points communs. Il s'agit de : Maurice Brianchon, Christian Caillard, Jules Cavaillès, Raymond Legueult, Roger Limouse, Roland Oudot, André Planson et Kostia Terechkovitch. En 1951, le musée des arts décoratifs de Paris organise une rétrospective de son œuvre en exposants cent trente cinq peintures, autant d'aquarelles, des dessins, des lithographies et des tapisseries.
Pour l'Opéra de Paris et son ami Francis Poulenc, il réalise les décors et costumes du ballet Aubade en 1952. Le Vorlage:Date, le président de la République Vincent Auriol lui remet les insignes d'officier de la Légion d'honneur et, au mois de juin, il est désigné par la direction des Arts et des Lettres à la demande du gouvernement britannique pour participer aux cérémonies du couronnement d'Élisabeth II, dont il rapportera deux carnets de croquis qui lui serviront à réaliser huit peintures de petit format consacrées à l'événement. Alfred Daber réalise en 1954 une exposition de ces œuvres dans sa galerie parisienne du Vorlage:Numéro boulevard Haussmann dont, parmi les vingt deux peintures retenues, celles du couronnement de la reine d'Angleterre.
Il réalise en 1955, les décors et costumes d'Intermezzo de Jean Giraudoux, musique de Francis Poulenc, dont la première est donnée par la Compagnie Renaud-Barrault le Vorlage:Date avec Pierre Bertin. Il est membre du jury de la Vorlage:VIIe Quadriennale Nazionale d'Arte di Roma avec Jean Arp en 1956, dont le prix est décerné à Enrico Prampolini. En juin, la galerie Arthur Tooth fait une exposition de trente deux de ses peintures. Michel Bouquet, metteur en scène et acteur de La Maison des cœurs brisés qu'il monte au théâtre de l'Œuvre en 1958, demande à Maurice Brianchon de réaliser les décors et les costumes dont Maurice Jarre réalisa la musique de l'œuvre de George Bernard Shaw. Il participe à l'exposition des peintres de la réalité poétique à La Tour-de-Peilz en Suisse dont le catalogue est réalisé par François Daulte et la préface de Paul Morand. Il y expose quarante et un dessins, peintures, aquarelles, lithographies et tapisseries de l'artiste avec Roland Oudot et Legueult, que Morand a connus aux Arts déco quarante ans plus tôt, et fait l'éloge de leur travail. Il met en route une série d'études pour réaliser des lithographies destinées à illustrer Les Fausses Confidences de Marivaux qui paraîtront en 1959 sur les presses à bras de Maurice Mourlot et de son frère Fernand Mourlot, éditées par Alfred Daber.
Cette année 1959, il part en compagnie de son épouse aux États-Unis pour la première fois. La galerie David B. Findlay à New York lui consacre une exposition de trente peintures réalisées entre 1942 et 1959. Il en profitera pour rapporter une série de croquis des gratte-ciel de Manhattan ainsi que des berges de l'Hudson à partir desquels il réalisera plus tard des tableaux. C'est Jean-Louis Barrault qui réalisa la préface du catalogue de l'exposition. Puis l'année suivante, une seconde exposition lui sera consacrée par cette même galerie. À l'automne, Georges Wildenstein obtient qu'une exposition de cent trois œuvres présentées à Neuchâtel soit exposées à la galerie des Beaux-Arts de Paris. Il passe ses vacances à Truffières dans le Périgord où il peint des natures mortes et des paysages. Il restaure une vieille maison près de Grand-Brassac.
En 1969, Brianchon connaît la consécration au Japon, grâce à l'exposition que lui consacre le galeriste nippon Chozo Yoshii en présentant vingt de ses œuvres à Tokyo. L'année suivante, il va illustrer de lithographies en couleurs Le Blé en herbe de Colette, dans une édition de grand luxe. Matasaka Ogawa lui consacre en 1972 une monographie en japonais, préfacée par le galeriste Chozo Yoshii, qui paraît aux éditions Zauho Press à Tokyo. Une nouvelle exposition en Suisse, à Genève organisée par la galerie des Granges consacre cinquante années de peinture avec cinquante six peintures. Puis, en 1975, une cinquième exposition à New York se tient dans les nouveaux locaux de la galerie de David Findlay. Patronnée par le Yomiuri Shimbun, la galerie Daimaru de Tokyo organise au mois de juin une exposition sur les peintres de la réalité poétique, présentant des œuvres des huit maîtres dont dix de Maurice Brianchon, reproduites en couleurs dans le catalogue de l'exposition.
Deux ans plus tard, il meurt à son domicile parisien le Vorlage:Date.
En 2013 a lieu la dispersion d'une partie de l'atelier du peintre à la suite de la succession de son fils Pierre-Antoine Brianchon à l'hôtel des ventes de Toulon[1] du 7 au 9 avril, comprenant notamment deux cents toiles inédites et originales de l'artiste et de son épouse.
Ausstellungen
- 1925: Galerie Devambez, Paris.
- 1927: Maurice Brianchon, Galerie Le Portique, Paris
- 1930: Art suédois et français, Konsthallen, Göteborg
- 1932: Quelques peintres d'aujourd'hui, Galerie Braun et Cie, Paris.
- 1934: Musée du Petit-Palais
- 1934: Galerie Charpentier
- 1934: Biennale di Venezia
- 1942: Jeunes peintres français et leurs maîtres, Kunsthaus Zürich, Kunsthalle Bern, Kunsthaus Luzern, Kunsthalle Basel
- 1946: École de Paris, Kunsthalle Bern
- 1946: La Tapisserie française du Moyen Âge à nos jours, Musée d'art moderne Paris
- 1951: L'École de Paris de 1900 à 1950, Royal Academy of Art, London
- 1951: Retrospektive im Musée des arts décoratifs, Paris
- 1951: Galerie Wildenstein, London
- 1952: Biennale di Venezia
- 1954: L'Homme dans la ville, Musée Galliéra, Paris
- 1954: Biennale di Venezia
- 1957: Depuis Bonnard, Musée national d'art moderne de Paris
- 1958: De l'impressionnisme à nos jours, Musée national d'art moderne de Paris
- 1962: Rétrospektive im Musée d'art et d'histoire de Neuchâtel
- 2011: Retrospektive, Musée des beaux-arts de Gaillac
Auszeichnungen und Ehrungen
- 1924: Prix Blumenthal
- 1946: Ritter der Ehrenlegion
- 1953: Offizier der Ehrenlegion
Literatur
- Olivier Daulte, Pierre-Antoine Brianchon: Maurice Brianchon. Catalogue raisonné, Éditions Bibliothèque des arts, Paris 2008, ISBN 978-2-88453-140-5
- François Daulte, Claude Roger-Marx, Paul Morand: Les Peintres de la réalité poétique. Bibliothèque des arts, Paris 2001, ISBN 285047245X
- Gisèle d'Assailly: Les Peintres de la réalité poétique. Éditions Julliard, Paris 1949
- Marcel Zahar: Maurice Brianchon, Pierre Cailler, Genf 1949
- Robert Rey: Maurice Brianchon, peintre. Les Maîtres de demain, Nr. 6, Paris 1942
Weblinks
Einzelnachweise